Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vendredi, 18 mars 2016

366 réels à prise rapide : Un moment où j’ai regardé l’heure.moment où j’ai regardé l’heure.

Ça avait bien fonctionné lundi, un jour court. J’avais réussi à avoir le T.G.V de 15 h 37, je suis donc arrivée à 16 h 08 dans ma ville. Hier, en partant, j’ai eu quelques mots d’amabilité avec deux collègues et l’atsem, l’animateur des T.A.P. et un mignon sur la cour qui criait joyeusement mon prénom. En montant dans la voiture, un moment j’ai regardé l’heure. Hum ! 15 h 21. C’était jouable si ...
La circulation était fluide, à l’arrivée devant la gare, la grande aiguille était entre 25 et 30. Aucune place sur le petit parking, hormis celle devant le panneau « interdiction de stationner » des bus, je n’ai pas souhaité récidiver la prise de risque qui m’a coûté 35 €. Pas de place non plus sur le parking en face. J’ai pesté une fois de plus en voyant les deux camions à louer, placés là dans un but publicitaire. Je me suis engagée dans la descente, rien non plus. De retour devant la gare, la grande aiguille de l’horloge fricotait avec le 35. Hum, hum dernière chance si une place s’était libérée ou si le train avait du retard. Par dépit, j’ai cherché et trouvé une place loin derrière les immeubles, avec un sentiment de culpabilité en pensant aux résidents à leur retour du travail. J’ai accéléré le pas, je suis entrée dans la gare, au moment où j’ai regardé l’heure, la pendule indiquait 15 h 41, un coup d’œil vain m’appris que le train n’était plus en gare ... Et que le T.G.V. suivant (qui ne s’arrête pas dans ma gare) aurait 15 minutes de retard. Pas de chance.
J’en ai profité pour aller voir l’exposition de photographies « La vague #3 », puis j’ai repris ma quête d’une place plus proche de la gare. Il était plus de 16 heures, deux places s’étaient libérées. Je suis rentrée comme d’habitude à 17 h 41 avec le T.E.R. de 17 h 04.

14:03 Publié dans 366 réels | Lien permanent | Commentaires (0)

Les commentaires sont fermés.